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« Les gens aiment pas les p’tits cauchemars Ils veulent des choses qui parlent d’espoir » («Dissection de l’oubli»)
Marjolaine regarde les gens passer « avec dans leurs back sacs une boule, un malaise », elle les sort et nous les restitue dans ses slams, enrobés de tendresse et de lumière. Elle me rappelle ce vers de Leonard Cohen de la chanson «Ring the bells» :
There is a crack, a crack in everything That’s how the light gets in
1. Écrire sur ce qui fait mal (6’58)
Pour Marjolaine, la différence entre le slam et la poésie n’est que sociale : avant d’être une forme, le slam est un événement social, ouvert à tous. Ouvert aussi à l’évolution de la langue au Québec.
2. La poésie, le slam et la vitalité de la langue (8’00)
Marjolaine n’a pas de site internet, pas de montage vidéo, pas de belle affiche. Elle a pourtant fait la première partie de Richard Desjardins et elle est vice-championne du monde de slam. Elle livre ici sans aucun complexe sa gêne du monde médiatico-culturel dans lequel elle a été embarquée. Maintenant elle veut être travailleuse sociale : « Je me sens moins coupable de continuer à créer parce que là vraiment je vais servir à quelque chose. »
3. Moi et mon image (12’04)
4. Marjolaine répond au questionnaire (3’17)
5. Slam en live de Marjolaine (5’58)